L’Urban, « un lieu dans un lieu »

L’Urban, « un lieu dans un lieu »
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En arrivant il y a un an, Noa Richmond a fait évoluer le concept et la décoration du lieu. L’Urban n’est plus seulement un restaurant, c’est un espace qui allie art et joie de vivre et permet aux clients de s’évader.

« Ça manquait de personnalité », explique Noa le directeur. Aujourd’hui, l’Urban est « un lieu dans un lieu ». Il est vrai que l’établissement ne manque pas de cachet.

À première vue c’est le style retro-industriel, le mobilier en bois chiné mais aussi les couleurs chaudes en intérieur et le dégradé de verts en extérieur qui donnent le ton. Puis, les yeux se posent sur les tableaux. « Nous avons dédié un mur aux artistes locaux », précise Noa.

Depuis plusieurs mois c’est Pierre qui présente ses œuvres. Il créé, entre autres, dans le style pop art. Il a choisi pour l’Urban des pièces qui apportent « un peu de chaleur et de vie ». Il reconnaît que « c’était un peu triste au départ. J’ai ramené du pep’s ». Il a déposé un tane et une vahine sur fond coloré, ainsi que des tableaux aux formats variés, disponibles à la vente sur place. Il explique, concernant ces œuvres, peindre « au feeling », une fois le sujet arrêté.

Pour en finir avec la présentation des lieux et être tout à fait complet, les fidèles apprécient les animations qui rythment les week-ends, des groupes et Djs locaux. Parfois, ils peuvent en plus profiter de soirées originales à thème comme l’Escape game. Il s’agit d’une soirée où mystère et gourmandise s’entremêlent autour d’un menu.

« Je voulais allier l’art et la joie de vivre, permettre aux clients de s’évader », résume Noa qui ne compte pas s’arrêter là dans les changements.

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Un art accessible

Né en Angleterre après la Seconde guerre mondiale, le pop art (abréviation de popular art) s’est rapidement étendu dans la société américaine. Ses sujets et supports empruntés au quotidien ont servi de base à des œuvres contestant les traditions,


volontiers provocatrices voire politiques. Si Andy Warhol en est la figure de proue, il ne faut pas oublier Roy Lichtenstein, Robert Rauschenberg, Jasper Johns, James Rosenquist, ou encore Jean-Michel Basquiat et plus récemment Jeff Koons.

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