Gibert Martin : « 50 ans de scène, c’est pas tous les jours »

Gibert Martin : « 50 ans de scène, c’est pas tous les jours »
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Il sera seul sur scène, avec chorale et chanteurs, pour célébrer ses 50 ans de scène. Gilbert Martin, « crooner et jazzy dans le style », proposera des reprises de titres internationaux et de la musique tahitienne.

Tom Jones, Billy Joël, Stevie Wonder, les Beatles… Le programme du concert de Gilbert prévu le 15 mars au Hilton est déjà arrêté. « Je jouerai aussi des chansons tahitiennes », promet-il. Il a décidé, cette année, de fêter ses 50 ans de scène parce que « c’est pas tous les jours ! »

Il sera seul, avec deux claviers, une chorale et des invités comme les Tahitian Angels ou encore Manarii Maruhi du Bel Canto Tahiti. Avec eux, le temps d’une soirée, il racontera ce qu’il est. « On pourrait en dire des choses ! »

Ce qu’il retient ce sont « toutes les expériences que j’ai pu avoir avec des artistes, chanteurs, musiciens », « toutes les choses qui m’ont construit », mais aussi « l’influence extérieure qui m’a façonné ».

Après toutes ces années, Gilbert aime toujours ce qu’il fait, il s’applique avec le même soin qu’à ses débuts pour « le respect du public ».

« J’avais 17 ans »

Il a commencé comme musicien en 1975. « J’avais 17 ans, ça passe ! ». Il jouait les week-ends dans les hôtels, notamment le Matavai (actuel Conservatoire artistique de Polynésie française), mais aussi au Tahara, à l’Hôtel Tahiti. Le chant est venu plus tard, à partir de 1994, « lorsqu’on s’est retrouvés au Kikiriri avec Kalou Gooding et Daniel, car on nous le demandait ».

Au cours de sa carrière, Gilbert a enregistré une vingtaine de CD, il a été reconnu chanteur de l’année au Heiva upa rau en 1997. Depuis un an, il se fait rare, il a arrêté les animations. Pour les amateurs, son concert du 15 mars est une occasion à ne pas rater.

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